Fussnoten zum Kapitel XIII/109 « Die Karte vom Kanton Neuenburg. »

 

1) Osterwald schrieb 1821 IX 3 an Trechsel: «Pour la carte de Neuchatel je ne pouvais employer la base de M. Tralles sans relever ses signaux. N'ayant pas un grand théodolite pour observer les angles aux extrémités de la base, je redoutai l’influence de la réfraction sur les marais. — Nous avons employé 2 mètres pour étalonner les règles qui ont servi à mesurer ma base. — Nous n'avons pu faire aucune liaison de ma base avec celle de M. Tralles».

 

2) Vergl. 88. — Ob die Berufung von Tralles nach Berlin irgendwie mit dem Aufenthalte zusammenhängt, welchen Leopold von Buch damals in Neuenburg machte? Gewiss ist dagegen, dass Buch an den Messungen während einiger Zeit regen Antheil nahm.

 

3) Vergl. 105.

 

4) Osterwald hatte sich überhaupt nie verwöhnt, erzählt ja Louis Coulon, der einige Zeit s. Gehülfe war: «Il lui arrivait de passer des mois entiers sur nos montagnes, sans avoir d'autre aliment que du lait. Un morceau de viande et un verre de vin étaient pour lui un luxe qu'en cas pareil il ne se serait pas accordé; il n'eût pas voulu envoyer quelqu'un de ses aides dans la plaine pour les lui procurer : cela leur aurait donné de la peine et suspendu son travail. II ne se couchait jamais avant d'avoir mis en ordre le Journal des observations faites pendant les journées les plus fatiguantes, et sans les avoir recopiées : ce travail lui prenait près d'une heure, et il ne s'en déchargeait sur personne. Encore dormait-il peu sur son tas de foin. Pendant ses in-somnies, il s'occupait encore, il repassait dans la tête le travail de la journée et préparait celui de lendemain.»

 

5) Ist, wie wohl überhaupt diese etwas schwungvolle Erzählung, nicht ganz wörtlich zu nehmen, da Otz mittheilt: «La dernière observation faite est l'observation de l’angle Vully-Bera à la Station de Bellevaux le l Juin 1807».

 

6) Handrot sagt: «L'original, soit les minutes au 1/48’000, passa au dépôt de la guerre à Paris, qui le paya, dit-on, 10000 francs». Die Zeichnung in 1/96000 dagegen wird auf der Bibliothek in Neuenburg aufbewahrt.

 

7) In Zahlen kann ich die Genauigkeit nicht angeben, da die Karte von Osterwald von Dufour für s. Atlas acceptirt wurde.

 

8) Eine 2. Ausgabe mit einigen Ergänzungen soll 1887 erschienen sein.

 

9) Als Gehülfen hatte er erst L'Hardy (v. 154); von 1839 hinweg Henri-Louis Otz (geb. 1820), jetzt Katasterdirector in Neuenburg.

 

10) Vergl. den «Extrait de la séance du 7 Avril 1841 » in Bull. Neuch. 1854.

 

11) In der «Notice sur l’élévation du lac de Neuchâtel au dessus de la mer, par M. Osterwald (Mém. Neuch. 1)» war die Höhe des Mole zu 437 m. angegeben. — Später gab Osterwald noch ein «Tableau des hauteurs au dessus de la mer des principaux points de la Principauté de Neuchâtel (Mém. Neuch. III)», — und später sogar 1844—47 bei Anlass s. Schweizerkarte ein «Recueil de hauteurs des pays compris dans le cadre de la carte générale de la Suisse», von dessen 5550 Angaben aber nach Durheim Viele fehlerhaft sein sollen.

 

12) Nimmt man nach den franz. Messungen für Chasseral 1608m,8, und für die Differenz zwischen Chasseral und dem Repère Osterwald nach dem «Nivellement de précision (v. 178)» 1171,5, so folgt die Höhe des Rèpere gleich 437,3, während Eschmann 437,1 annahm.
Vergl. auch «Hirsch, Sur la question de la hauteur du Mole de Neuchatel (Bull. Neuch. VI 603 u. f.)».

 

13) Eine Copie soll damals nach Berlin abgegangen sein.

 

14) Louis-Alphonse de Mandrot (1814 geb.) trat 1834 in preussische Dienste, benutzte aber die Zeit, welche er 1842 und 1843 als «Chef du recrutement du bataillon des tirailleurs de la garde» in s. Vaterstadt zuzubringen hatte «pour étudier le système topographique de M. d'Osterwald», so dass er gewissermassen als Schüler und Nachfolger Osterwald's zu betrachten ist.